Exemples de résultats obtenus pour nos clients :
Moins d’un an après l’acquisition d’une entreprise, un client s’est retrouvé en cessation de paiements en raison d’informations non divulguées par le vendeur. Souhaitant poursuivre l’exploitation, le client s’est tourné vers notre cabinet pour des conseils sur les procédures de redressement judiciaire. Grâce à notre intervention, le client a pu continuer l’exploitation.
Suite à une méprise de l’URSSAF, notre client a été injustement placé en liquidation. Notre cabinet a rapidement identifié l’argument juridique pertinent pour contrecarrer cette situation. Grâce à notre intervention, le client a obtenu gain de cause.
Un dirigeant, ayant géré seul sa procédure de liquidation judiciaire, s’est retrouvé face à une potentielle sanction pour insuffisance d’actifs de 800 000 € et une interdiction de gérer. Après avoir été assigné, il a sollicité notre cabinet pour assistance. Malgré les risques évidents de sanctions, des négociations avec le Mandataire ont permis d’aboutir à un accord transactionnel de 22 000 € pour régler l’insuffisance d’actifs.
Une société de sécurité privée, en redressement judiciaire, a vu sa situation se compliquer avec une masse salariale représentant 126% de son chiffre d’affaires. Le dirigeant, souhaitant sauver son entreprise, a sollicité notre cabinet. Après analyse, nous avons élaboré un plan basé sur des prévisions de contrats clients futurs et une restructuration. Malgré une trésorerie tendue, le dirigeant s’est porté garant de dettes post-redressement de 40 000 €, rassurant le tribunal. Suite à nos efforts, la société a pu présenter un plan de redressement sur 10 ans. Une trésorerie positive, constatée le jour de l’audience, a renforcé notre position.
Suite à la pandémie, un club de sport, repris en 2018 avec un crédit bancaire, a vu son nombre d’abonnés chuter drastiquement, exacerbé par la concurrence d’un nouvel établissement low cost. Malgré une tentative de redressement judiciaire visant à vendre le fonds de commerce, aucune offre n’a été reçue, conduisant à une liquidation judiciaire. Face à l’incapacité du dirigeant à honorer son engagement de caution, un accord a été négocié pour régler une partie de la dette, bien que la BPI, garant du prêt, ait exigé un paiement unique réduit mais rapide.